Liminaire

 

    Bon, je mets quelques nouvelles sur Internet, que jusqu’à présent seuls les pirates de mon disque dur pouvaient lire. En fait je ne mets que les débuts, pour faire envie ou faire pitié, et la suite se trouve sur Amazon.fr en format électronique et à un prix raisonnable. Tout est déposé à la SGDL donc n’hésitez pas à me demander si jamais vous souhaitiez en faire quelque chose.

    Il y a d’abord neuf nouvelles disons d’amour, toutes racontant la rencontre d’un homme et d’une femme vue du point de l’homme car je n’ai pour l’instant testé que cette configuration. Elles sont regroupées dans D’autres filles que la mienne, 350 pages environ et 105 000 mots au bas mot.

    Il y a aussi onze nouvelles supposées de haine. Toujours un narrateur à la première personne qui, faute certainement d’avoir rencontré l’amour dans la série ci-dessus, se défoule comme il peut sur ses semblables ou sur l’un d’entre eux en particulier, pour un bilan allant de zéro à quelques milliers de morts. Ces nouvelles sont regroupées dans La Fin de l’âge du fer, 430 pages et 160 000 mots environ.

    Encore une ligne plus bas se trouve Retour en arrière, 120 pages et 43 000 mots, où un homme enquête sur le meurtre ancien d’une femme par un homme et cela le fait rencontrer la femme de sa vie, et le roman s’arrête avant que les choses ne se dégradent à leur tour pour lui, mais à vue de nez tout devrait bien se passer quand même.

    Enfin, j’ai mis en ligne un polar qui m’a valu il y a quelques années une rafale de lettres de remerciements de la part d’éditeurs à qui je l’avais envoyé, et je n’ai plus jamais recommencé depuis. Il s’agit de CO-Homicides ( jeu de mots ), 340 pages et à peu près 110 000 mots.

    A part ça, je vais peut-être alimenter en articles écrits au fil des jours les catégories du haut de page, mais je ne garantis rien, car je préfère la fiction à l’énervement quotidien d’un blog.

    Je vous souhaite au moins autant de plaisir à me lire que j’en ai eu à m’écrire. Et si à votre tour vous vouliez m’écrire, ce serait à postmaster@lofemu.fr qui transmettra fidèlement à l’auteur.

 

LFM